Mes aventures continuent donc au
départ de chez Mandy et Peter qui me paient une bière avant de partir puis
m’amènent au pub pour déjeuné à 13h, sachant que je dois prendre mon train à
13h30, après avoir donc mangé en de temps trois mouvements, et bu une autre
bière offerte par mes hôtes direction la gare ou l’on arrive au même moment que
le train, je descends de la voiture, je prends mes affaire, je les remercie
pour tout et je file en courant dans le train. Les adieux furent donc assez
furtifs. J’ai trois heures de train pour
aller à Sydney, le train est donc très, très lent. Après une heure de train,
une envie de pisser (j’aurais pu dire d’uriner mais bon parlons
franchement !) assez incroyable, merci la bière. Les minutes défilent et
au lieu de s’atténuer, ce besoin s’accentue de manière invétérée au point qu’a
une heure de train de Sydney, je décide de descendre du train (vous l’aurez
compris, pas de toilettes à bord des « RER »), pour me rendre dans
les toilettes de la gare, un bonheur. Bonheur de courte durée quand j’ai vu que
le train suivant arrivait plus de 30 minutes plus tard, mais bon, c’était pour
mon bien.
J’arrive à Sydney puis je me rend
dans l’auberge de jeunesse dans laquelle j’avais prévu de passer la soirée
avant de prendre le train le lendemain matin, à 7h42 précise en gare de Sydney.
Une auberge bien plus sympa que la dernière visitée à Sydney ! Je pose mes
affaires puis, direction le centre-ville histoire de faire un peu de shopping.
Je tombe sur un show de danse HipHop en pleine rue, par un groupe de Français,
vraiment sympa (encore une fois) à qui je donne quelques pièces avant de
discuter quelque peu avec ces parisiens. Un petit tour dans les magasins puis
je rejoins Agathe, une de mes amies Française à Sydney, pour manger quelques sushi
(Les tous premiers de ma vie… SI, je vous jure !) puis on est rejoint par
Natacha avec qui l’on va se poser dans un bar, on discute, je paie un jug, on
discute, Natacha paie un jug, on continue à discuter, Agathe paie un Jug, on
continue à discuter, on se rend compte que nos vessies respectives ont une
capacité limitée, on se relai pour aller aux toilettes, puis Natacha part et
Mylène arrive une petite heure plus tard, Agathe et moi-même repayons un Jug
chacun (pour ceux qui n’ont pas compris JUG : Pichet de bière de 1,134L). Mylène
en paie un, puis ont en achète un dernier en commun, autant vous dire que je
pourrais vous raconter 10 fois, le relais toilettes mais on aura franchement
bien rigolé, en parlant de sujet et d’autres, d’aventures et de mésaventures et
j’en passe, j’en passe, on aura également eu un vrai bon fou rire à nous
incruster sur les photos de pauvre petits Australiens qui auront nos tète et
nos postures toutes plus étranges les unes que les autres, en arrière-plan. Le
Bar ferme, (entre temps nous fait un bref passage au KFC ou j’ai payé 7$, OUI,
7$, 3 petits bout de poulet ridicules sans sauce, ni frites ni boissons, 7 $
dollars soit le prix d’un JUG… AH si j’avais su !) On part donc, Agathe
décide de rentrer, puisqu’elle ne se sent pas forcément bien (ah le petit
estomac sudiste ;) Je plaisante Agathe, je plaisante ! ), on part
donc avec Mylène, direction mon auberge de jeunesse ou elle avait pris ses
quartiers en arrivant à Sydney : je suis perdu et elle est comme chez
elle ! Pour changer quelque peu on discute et on boit… mais du café cette
fois (incroyable n’est-ce pas ?), il est 4h du matin, je la raccompagne
prendre son bus à quelques pas de là, il n’arrive qu’une demi-heure plus tard,
et pour être original j’ai de nouveau envie d’ « uriner »… On
part donc en quête de toilettes dans la gare centrale de Sydney, déserte, on
marche on marche, on les trouve enfin mais elles sont bien sur fermées… tant
pis j’attendrais de rentrer à l’auberge ! Son bus arrive, ce sont à
nouveau des aux revoir (quelle journée dites-moi !) … Je rentre à l’auberge, il est désormais
5h30, mon réveil sonne 1h15 plus tard, j’ai bu du café le sommeil est dur à
trouver, mon réveil sonne une demi-heure plus tard… Bref je n’ai pas dormi. Un
petit coup d’eau sur la tête et c’est partie bagages en main, direction la gare
que j’ai quitté il y a moins de deux petites heures pour prendre le train,
direction Culcairn, dans le bush, les terres Australienne pour rejoindre Peter
dans sa ferme de dromadaires au milieu de wagon de train aménagé en logement.
ATHYPIQUE ! Mais avant cela … ce sont 7h de train qui m’attendent, un peu
de « repos » (pas très confortable certes) après une journée dans
Sydney, une nouvelle fois vécue à 300 à l’heure ! J’alterne somnolence et
ennuie, quoi qu’il en soit rien qui ajoute une réelle plus-value à ma nuit
d’une demi-heure ! Au fil des kilomètres, le paysage deviens de plus en
plus jaune que ce soit les pierres ou l’herbe, les arbres font également très
sec, on croise des gares d’un autre temps, tout comme les poteaux électrique,
tout droit sorti des année 50… en résumé on se croirai un peu dans un western.
Moi qui étais habitué à la côte Est, assez nivelé par les montagnes, je goute aux
paysages plats à des kilomètres à la ronde. De l’autre côté du couloir, deux
jeunes filles, dont une vraiment jolie discute, moi je suis coté fenêtre alors
on échange quelques mots au départ du train jusqu’à ce qu’une femme assez
immonde arrive à côté de moi, elle a ramené un bout de poulet qu’elle découpe
et en foutant partout et en mangeant tel… un dromadaire ! Bref un périple
interminable, qui plus est avec une demi-heure de retard. Quoi qu’il en soit
j’arrive à bon port ou Peter m’attend avec Ana, une Magnifique jeune fille qui
voyage seule (intéressant) et qui est arrivé la veille. Il habite à plus d’une
heure de la gare alors il fait une pause
mi-chemin pour nous payer… une bière ! A croire que cela ne
s’arrête jamais ! On boit donc un coup puis nous repartons. Dans ce
paysage désertique, autant vous dire que le réseau… n’existe pas !
Pourtant arrivé à la maison : quatre wagon de train aménagé en logement
vraiment sympa (Un avec la nourriture des chameaux, un second avec plein
de chambre, un autre avec cuisine, salon, bar etc. et le dernier reste pour
l’heure un mystère ! ) et une maison au-dessus ou vis Peter, je vois une
box internet, même si j’ai lu que le wifi était capricieux, c’est toujours ça !
J’étais heureux de savoir qu’il y avait
un couple français avec nous mais j’ai vite, très vite déchante ! Un couple
de Catho de chez Catho qui ne boivent ni bière, ni vin, ni soda… et habillé
comme des catho dans le mode vieille France exporté en Australie ! Enfin ça
m’a direct refroidie surtout en les entendant parler à voix basse, à peine
perceptible, enfin je ne vous fais pas un dessin ! Ma première question a
été de leur demandé si ils restaient longtemps (pas cool mais bon ils sont
franchement déprimants !), et j’ai eu la bonne surprise (le salaud que je
suis tiens !) d’apprendre qu’il partait dans 3 ou 4 jours ! Je dois
vous avouer que de me retrouver en tête à tête avec Hannah ne me déplai pas
forcément, loin de la !
La journée suivante fut totalement
AMAZING ! Par où commencer ? Le début !
Réveil après une bonne nuit de
sommeil à 8h du matin, un petit breakfast ave des pancakes, un peu d’internet
et la vie continue son court !
A 10h, Peter viens me chercher
pour nous emmener dans la ville voisine, distante de quelques 150 petites kilomètres
pour chercher une caravane qu’ils ont prêtés à de précédents Helpers :
deux mecs et une fille (magnifique également) pour récupérer la caravane. Entre
temps Diane, la femme de Peter nous paie un café dans un bar puis nous
reprenons la route pour nous arrêter dans un autre petit village ou ils nous
paient un Burger complètement fou, une tour de pise !
Ensuite direction un vignoble à
proximité pour acheter deux bonne bouteilles de vin blanc, avec dégustation
préalable évidemment. Puis nous reprenons la route pour revenir à Lankeys creek,
la maison de Peter. Il est déjà 17h, on a énormément rigolé dans la voitures,
enchainant les histoires drôles, ils sont vraiment géniaux ! Pour
précision Peter à 67ans et n’arrête pas de se qualifier de « tète de
bite », tout en sachant la signification… on doit ensuite arroser sa propriété
en pleine colline à l’arrière d’un très vieux tracteur, je suis toujours avec
Hannah (maintenant je l’écris mieux ;) ) et on commence à vraiment se
rapprocher, on va ensuite à la rencontre des voisins distant de quelques
centaines de mètre pour les inviter à l’apéro puis un BBQ, entre temps nous
nourrissons les dromadaires, nous faisons plus amples connaissance, nous
rigolons, on parle des autre français…
On se retrouve donc tus dans la maison
de Peter quelques dizaines de minutes plus tard pour une soirée mémorable, il y
a moi, Hannah, le couple de français (ne me demandez pas leur prénoms)… Le
couple de voisins, Peter et sa femme et un autre couple Ecossais hébergé par
les voisins, on boit, on rigole et on mange. La soirée tranquille vire à la
soirée karaoké, tout le monde est plus ou moins saoul (sauf les « soft
frenchies » qui plombent quelque peu l’ambiance) . Bref Diane essais
de me rapprocher d’Hannah et ça commence à fonctionner, on danse on rigole et
on prévois des choses : dès le départ des français transformer les wagons
en boite de nuit privée, notre boite de nuit, ou chaque soir nous devrons avoir
un dress code différents, ou l’on dansera, on karaokéra et on aura « a
good time » en espérant que ce soit « a realy good time ». Je
vous écris ces quelques lignes à 2 h du matin, on n’est plus qu’Hannah et moi…
bon il y a des enfants qui lisent ce blog, la suite sera confidentielle (ou non
si rien ne se passe, mais bon il me reste 15 jours d’écriture dans cette ferme
alors j’espère bien devoir me censuré d’ici mon départ) Quoi qu’il en soit mon
séjour commence très bien (ah et je n’ai rien oublié : on n’a pas bossé de
la journée ;) )
Avant tout ça Peter nous a ramené
de chez lui en camion, nous étions debout à l’arrière du camion en train de
chanter et de danser, à se faire des remakes du Titanic (arrière du camion j’entends
par là la remorque), tandis que les deux autres étaient complètement
terrorisés, accrochés d partout… une autre mentalité !
Pendant la soirée Peter, 67ans,
qui en parait 50, nous à raconter un peu ses exploits, et croyez moi qu’ils
sont dingues ! Il y a 20 de cela, ce grand fou, aux grandes idées à
rallier l’Australie à l’Indonésie en… VOITURE amphibie ! Il nous a fait revivre avec lui ces moments
exceptionnels et ça fait franchement rêver ! Imaginer vous en voiture au
milieu de l’océan à faire des appels de phare et à klaxonner sur … des
bateaux ! Quand à Diane, elle est juste génial, à danser et à chanter
comme une gamine, deux personnes qui profitent à 100% de la vie, fan de Pink,
et je pourrais vous parler d’eux pendant des heures tellement ils sont
géniaux !
La nuit suivante, première soirée
sur le thème de « chapeaux et lunettes », on se serra vraiment bien
amusé : trampoline, musique, bière et j’en passe… un très bon
moment !
Le lendemain, on bosse tranquillement
le matin jusqu’à ce qu’un nouvel arrivant arrive : Manuel, 30ans du Mans,
qui n’est autre que le cousin de Jo-Wilfried Tsonga… un mec super sympa, très joyeux qui a une
vraie soif de découvrir…La nuit tombée, direction une vieille route en terre,
toute cabossée, dans le vieux camion tout branlant de Peter pour aller voir des
sorte de petit ours australiens, dont j’ai du mal à me souvenir du nom,
toujours est-il que nous voilà à l’arrière du camion cheveux dans le vent avec
nos grande lampes torches, la lune éclaire la route mieux que les phares de
Peter, on rigole sans pouvoir s’entendre mais nous sommes tellement heureux de
pouvoir vivre un tel moment. Les kangourous et les lapins traversent la route
les uns après les autres, un renard passe par la et nous dis bonjour. Non je
plaisante car nous voilà lancé à toute vitesse, à « chasser » les
kangourous, le vieux pot d’échappement nous enfume et pourtant c’est un très
bon moment ! On aura finalement vu un de ces petit ours mais mon appareil
ne fonctionnant divinement bien la nuit, je compte récupérer les photos de
Manu. Encore une fois c’est un très court résumé, mais comme j’ai coutume à le
dire, il faut le voir pour le croire, mais surtout le vivre !
Le lendemain nous nous rendons
dans une vieille maison dont Peter a hérité d’un ami, situé à quelques 100 km
de nos wagons, un énorme bordel un peu partout dans le jardin, un ancien chercheur
d’or qui à amassé les outils rouillés, 3 petites cabanes en tôle, et des
babioles partout de chez partout, le tout dans un joyeux nuage de poussière qui
nous salit dès les première minutes. On jette tout dans la benne pour les
envoyer à la déchetterie puis ensuite on revient. C’est franchement intéressant
car il tenait un journal mais également des articles de journaux des années 60,
on a feuilleté et liquider tout cas à un rythme très cool. Auparavant Peter
nous a payé un bon Fish and chips. Suite à cela je suis allé avec lui chercher
le pain d’une boulangerie juste après la fermeture pour ses chameaux, j’ai donc
dû le droit à des donuts et des Pie tout
frais. C’était assez plaisant de vider cette boulangerie, une sensation de
voleur tout en étant honnête. Pendant ce temps Peter est allez nous acheter
(encore), un pack de 30 bières, puisque nous reviendrons le Jeudi.
Le soir venu, après avoir mangé,
on décide d’écrire ensemble une chanson tous ensemble (sachant que bien
malheureusement Chris et Lucie nous ont quitté le matin… En résumé… C’est la fêteeeee !
), Chanson en Anglais. On passera plus de deux heures à chercher des rimes et à
rigoler avant d’aller se coucher quelque peu exténués par notre journée. Le
lendemain nous devions bosser, et couper quelques arbres mais le temps en a
décidé autrement, ce sera donc écriture et montage vidéo pour moi, tandis que
Manu tri ses photos (quelques 10000 en 2 mois) avant de me les donner à la fin
de son séjour d’une semaine ici. Je réserve également le transport et l’auberge
de Jeunesse à Melbourne histoire de ne pas me retrouver à la rue dans quelques
jours. Le soir venu Hannah nous cuisine un copieux mais succulent Breakfast
anglais : flageolets, toast, œufs sur le plat, saucisses, bacon… Un vrai
délice. Je cuisine ensuite des crêpes pour changer un peu ! Et je dois
avouer, sans forcément me faire mousser, qu’à force d’en faire toutes les deux
semaines je m’améliore grandement et je crois que ce sont les meilleures que je
n’ai jamais cuisiné ! On ne fait pas grand-chose mais on prend vraiment du
plaisir à être ensemble et à partager des moments de la vie de tous les jours
les uns avec les autres. On est un groupe de 3 jeunes voyageurs avec une vraie
joie de vivre et une envie de profiter de tous les plaisirs de la vie ! Le
lendemain nous devions aller travailler mais Peter est passé nous voir,
chevauchant son motocross, qu’il devait également pleuvoir le lendemain et que par
conséquent il y a peu de chance que nous travaillons …
Le lendemain, je reprends mes
habitudes après chaque réservation : faute d’imprimante je note les
informations importantes sur un papier, il me suffit de le montrer dans le
train et c’est bon.
Je note donc les informations pour
l’auberge de jeunesse, puis pour le train, que je prendrais le 8 Mars à
3 : 39am dans l’après-midi… AM, mais, c’est le matin ! Je me suis
donc trompé de train, au lieu de prendre celui de l’après-midi, j’ai réservé
celui du matin, de nuit devrais-je même dire ! Je vais donc devoir
demander à Peter de me déposer à la gare en fin de soirée la veille de mon
départ pour Melbourne… Quel con ! Je vais donc devoir trouver un moyen de
dormir sachant, qui plus est, que j’avais prévu d’arriver à 19h et que je ne dois
arriver à l’auberge à … 20h ! Je vais donc me trimballer mon sac de voyage
toute la journée … un pur bonheur !
Le lendemain bonne petite journée
avec réveil sympa, petite « plage », un coin de sable assez rocheux
au bord de la rivière face à une forêt qui offre des trous d’eau assez sombre à
l’eau assez froide mais c’est tout de même bon d’avoir la sensation d’être
entièrement dans l’eau ! On revient ensuite je me remets en mode cuistot
après le poulet au curry de la veille, les crêpes de l’avant-veille et le
barbecue du midi je me lance dans la préparation de poissons riz aux oignons et
sauce tomate-oignons-poivrons, un vrai délice… La ferme à trouver son chef (je
commence sérieusement à m’épater ! ;)). Avant cela Peter était venu
en fin d’après-midi : Maxime à la souffleuse, Manu à la tronçonneuse et
Hannah à la tondeuse. Pendant que je faisais tranquillement souffler le vent
sur toutes les feuilles alentours (mais également les excréments de
dromadaires) je vois Peter arriver et me jette un bâton, puis un second… Je les
souffle et je me rends compte que c’est en fait… un serpent coupé en deux.
J’arrête donc la machine posée sur mon dos et je demande d’où il sort celui la
… C’est en fait Hannah qui était avec Manu et Peter pendant que celui-ci
passait la tronçonneuse, qui s’est retrouvée nez à nez avec un Snake, un Brown
Snake de 1m50 de long environ. Devrais-je préciser qu’’il s’agit d’un des serpents
les plus agressifs et dangereux du monde. Il a tenté d’attaquer la charmante
demoiselle avant que Peter, tel un héros viennent mettre fin aux espoirs de la bête
en le découpant en deux à la tronçonneuse, une bien triste fin !
Suite à notre repas, on décide de
se faire une soirée feu de camps et Chamalow. On commence donc tranquillement à
rigoler et à faire cramer les chamalow bière et verre de vin à la main (pour être
précis ils étaient posés sur un banc), arrivent ensuite les shooter de … whisky
(on a rien trouvé de mieux ;) ), on ramène le trampoline et on saute au-dessus
du feu on s’amuse, on fait ensuite des mimes puis on rigole toujours et encore,
la discussion dérive, dérive beaucoup, on finira la soirée bien éméché vers
1h30 du matin. On aura bien sur passé la soirée déguisés chapeaux, nœud
papillons, capes et autres accessoires on encore plus égayé cette très belle
soirée à trois autour d’un feu de camps en Australie, dans une ferme de
chameaux, au milieu de trains abandonnés (qui dis mieux ? ;) ).
Le lendemain, et ce malgré un
réveil quelque peu difficile, direction la déchetterie dès 9h30 pour y déposer…
nos déchets avant de filer à nouveau dans la vieille maison d’Albury ou notre
mission du jour sera de vider puis de déplacer une vieille maisonnette en tôle
de 2m sur 2 mais d’une hauteur de près de 3m. On la soulève donc, puis on y met
quelques rondins de bois en dessous pour la faire bouger, je vous passe les
détails avec Peter et son petit tractopelle en train de tirer la cabane jusqu’à
son camion tout aussi branlant que sa cabane. Entre temps nous nous sommes
octroyé une pause déjeunée dans un restaurant local avec un hamburger à 13 $
comme je n’en avais encore jamais vu, un délice, une montagne de délice…
Orgasmique ! On en profite également pour faire un petit tour au festival
de musique rock qui se tient ce jour-là dans la ville. A 18h, après plus de 4h
de travail « réel », la cabane est prêtes à être mise sur le camion…
non pas à l’aide d’une grue mais… du petit tractopelle. Peter la fait en fait
basculer sur le camion, enfonçant totalement une des façades de la cabane. Toujours
est-il que nous y arrivons et la cabane tiens difficilement en place sur ce
petit camion… Peter nous demande de le suivre en voiture, conduite par Mister
Jones (Manu), histoire de l’escorter. Personnellement je ne me sens pas, mais
alors pas du tout rassuré par cette situation. Mais après seulement deux
minutes de trajet dans Albury, le camion nous fait un bruit très étrange, Peter
s’arrête pour regarder. C’est en fait la transmission qui commence à lâcher (ou
un autre truc) on retourne donc dans la vieille maison, on y dépose le camion
et on rentre à la maison. Un coup dans l’eau j’ai envie de dire… Une fois
rentré nous mangeons avec Peter et Diane ainsi que les deux filles de cette
dernière âgées d’une vingtaine d’années (mais pas à mon gout si vous voulez
tout savoir). Nous sommes dégelasse mais étant donné que nous sommes bien en
retard, Peter ne nous dépose même pas pour nous changer… Quoi que le style
bricoleur du dimanche plein de poussière avec une grosse barbe et des longs
cheveux, ça peut avoir du charme !
On mange donc super bien, on rigole, la discussion par une nouvelle fois
dans nos travers ;) . On finit une nouvelle fois la soirée en karaoké, je
suis complètement claqué, direction le dodo et les beaux rêves dans lesquels je
me plonge à peine allongé.
Le lendemain matin le réveil est
plus facile mais toujours aussi froid, je reste donc dans ma couette devant la
télé sur le canapé, un vrai plaisir. C’est le dernier jour de Manu avec nous,
et pour nous remercier du travail de la veille, c’est Day off. On commence donc
la journée par un « rituel »
le ping pong. Je m’en tirerais comme le grand vainqueur de la journée
avec 4 victoires à une… Sans rancune ? ;)
On n’a presque plus à manger mais
on se débrouille tout de même pour manger à notre faim le midi. Direction
ensuite la « plage » pour une séance de bronzette tandis que mes amis
geek reste face à la télé regarder « crocodile dundee » … Le soir
venu on part à l’aventure, escalader la colline d’en face pour voir le coucher
du soleil autour d’un piquenique. Sandwich et bouteille de vin blanc dans le
sac (sans oublier l’appareil photo bien évidemment), on part à l’aventure, sur
notre route on s’arrête manger quelques mures avant de repartir pour notre
petite marche. Arrivés en haut de cette belle colline on se rend compte qu’il y
a un énorme foret et que nous ne pourrons donc pas voir le coucher du soleil.
Mais la vieille nous avions remarqué qu’a l’opposé du fameux
« sunset », le ciel devenait rose puis virais au violet avant que la
nuit ne prenne le dessus. On décide donc de rester et de manger sur cette façade
de la colline. C’est alors que nous croisons un kangourou, un kangourou
noir le premier que je vois! Le vin blanc à tourner et est désormais imbuvable,
on se contentera donc de nos sandwich et de prise de photos. Manu à apporter
son ordinateur on a donc le coucher du soleil en musique. Quand à celui-ci, il
est indescriptible, juste sensationnel comme vous pouvez le voir sur les
photos, mais bien sur cela ne vaut pas ce que j’ai vu en vrai. On finit par
regarder un film à flanc de colline dans la pénombre éclairé par la lune et les
nombreuses étoiles. C’est un pur moment de bonheur, comme quoi, il n’est pas si
dur à trouver !
On rentre ensuite avant que la
nuit ne prenne trop le dessus, le ciel est étoilé comme jamais, on le regarde,
on le contemple, on l’admire… Une fois rentré on s’allonge sur la terrasse et
on profite pour philosopher… Jusqu’à ce qu’une ENORME étoiles filante vienne
nous couper et nous donner un sourire incroyable on rigole on apprécie, j’en ai
eu la chair de poule, et je n’ai pas eu la lueur d’esprit nécessaire pour faire
les vœux de ramener Hannah avec moi (je plaisante, rendons à Brighton ce qui
appartiens à Brighton ;) ), mais je dois avouer que j’en rêve encore de
cette magnifique étoile…
Etant donné qu’il ne se passe pas
un jour sans une nouvelle aventure, le lendemain matin, Peter viens nous
chercher pour nous annoncer qu’il a réussi à réparer le camion et qu’il a donc
ramener en fin de soirée, la petite cabane. Mission du jour : Réussir à
descendre la cabane du camion, sans l’aide du petit tractopelle… Un sacré bordel.
On attache donc des chaines autour de la cabane que l’on attache à l’avant du
camion, on attache une autre chaines à l’avant de la cabane pour la tirer avec…
la voiture de Diane, qu’elle a acheté 6 jours auparavant ! Et c’est parti
Peter tire la cabane avec la voiture, sauf qu’avec les rondins la cabane part
bien plus vite que prévu et s’arrête juste avant de s’encastrer dans la
voiture, la moitié en l’air et l’autre sur le camion. Les chaines sont tendu à
leur maximum, Peter veux les desserrer, je lui dis de faire attention à ses
doigts en rigolant, 4 secondes plus tard il s’entaille le poignet. Il pisse le
sang mais ce grand fou n’en a rien à faire, il continue comme si de rien était…
Il va ensuite chercher une autre chaine pour tirer la cabane sur le camion et
gagner du lest dans les autres pour les enlever. C’est alors qu’un mec arrive
avec son 4*4 rempli de bois, il remonte l’allée et arrive jusqu’à nous. Un ami
de Peter ? Pas du tout c’est un total inconnu du type Bucheron du bush,
qui vient de voir la cabane à moitié dans le vide et qui a trouvé ça
« funny » comme il dit, et il vient donc filer un coup de main pour
la descendre. Qui plus est-il à le matériel spécialement fait pour ça. Vous parlez
d’une coïncidence ! En plus il ne prend que rarement cette route pour
rentrer chez lui. Bref il installe son matériel avec Peter et c’est parti, il
descende la maison petit à petit jusqu’au moment où la chaine lâche, la cabane
tombe d’un coup, elle part à la renverse et est à deux doigts de s’exploser sur
le sol, avant qu’elle revienne à sa place juste avant que notre travail de deux
jours soit anéantie ! Peter nous paie donc un coup ainsi qu’à notre
sauveur du jour, c’est aussi ça l’Australie : La solidarité, que vous ne
trouverez bien sûr que dans les petites villes et les campagnes. Peter nous offre également le repas et un
ravitaillement de bière pour le train. Manu nous quitte ensuite en début d’après-midi,
je vais donc passer mes derniers jours seul en compagnie d’Hannah.
Le jour suivant nous sommes retourné
à Aulbry pour cette fois déplacer une vieille caravane, l’occasion pour moi de
faire mes premiers pas dans la conduite à gauche et finalement ce n’est pas si
compliqué… J’ai également eu l’occasion de conduire le petit tractopelle avant
de rentrer à la maison. Pour ma dernière soirée j’ai décidé d’inviter Peter et
Diane manger avec nous autour d’un poulet au curry et de bonnes crêpes, pour
changer un peu. On a fini bien éméché autour de nouveaux machmalow grillés.
C’est l’heure de partir après une nuit
plutôt courte de sommeil. Entre temps Peter a appelé la compagnie de train pour
changer ma réservation, je prends donc le train de 14h45 direction Melbourne ou
je dois rentrer à mon auberge avant de rejoindre Damien, un camarade de classe
de l’année dernière pour se boire quelques verres et discuter un peu de nos
aventures respectives ! Avant cela je dois donc rejoindre mon auberge à
Park Street. J’ai donc regardé sur Google map comment m’y rendre et cela ne
semblait pas compliqué. J’ai donc marché une grosse demi-heure vers le sud de
Melbourne avant de trouver la rue. Rue que j’ai donc remonté jusqu’à arriver au
numéro 99 ou était censé se trouver mon auberge… Sauf qu’il s’agit d’une résidence
particulière, rien à voir avec une auberge de jeunesse, je tourne un peu en
rond dans la rue avant de sortir mon ordinateur pour vérifier l’adresse. C’est
alors que je lis « ne faites pas l’erreur d’aller à Park Street dans South
Melbourne, notre auberge se trouve à Park Street à South Yarra » ! Ah
les cons ! Ils ont deux rues du même nom ! Bref ce message est
accompagné des directions pour s’y rendre. Je retourne donc sur mes pas pour
trouver un tram qui m’amènera à l’auberge, le tout guidé par Sms par ce gentil
Damien !
Il fait nuit, je monte dans le
train, sauf que j’ai du mal à voir les stations, le tram repart, je vois que je
viens de louper mon arrêt. Et Flute ! Je descends au suivant, je reviens
sur mes pas. Il est 20h54 quand j’arrive à l’auberge, la réception fermant à
21h : j’ai eu chaud. Je monte poser mes affaires dans le dortoir, je prends
une douche en deux temps trois mouvement et me voilà reparti dans le tram pour
rejoindre Damien en ville avant d’aller boire un verre en ville, 4 jug pour
être exact et de bien rigoler avant de finir la soirée au Hungry Jack atour
d’un bon burger ! Franchement sympa comme soirée ! Concernant
Melbourne, la ville est franchement sympa (également) avec le tram partout, et
les vieux bâtiments se mêlant avec les modernes, c’est top! De plus il y a un
truc à découvrir à chaque coin de rue. Et chaque jour de nombreuses animations
animent les trottoirs.
Le lendemain je pars à la visite
du centre-ville je marche pendant des heures, je prends le tram gratuit pour
visiter les Docklands, les bords de la Yarra sur laquelle se joue une compet de
ski nautique. Je me rends également sur les différents stades de foot et de
Tennis ou se joue l’Open d’Australie, le tout sous une chaleur étouffante. Je
reviens à l’auberge prendre une bonne douche avant de repartir en ville voir la
compétition de saut à ski nautique nocturne. Damien me rejoint ensuite
direction le même bar que la veille, avec le même jugs également. On discute,
on rigole, on s’amuse. Il textote avec une Américaine à qui il donne des cours
de Français en échange de cours d’anglais. Il me dit qu’elle est très mignonne
et qu’il faut donc qu’il me la montre, on va donc dans le bar ou elle
travaille. L’entrée est payante mais bon
on est en Australie pour profiter ! On se fait d’abord recalé jusqu’à ce
que Damien dise que nous étions des amis de Shannon. Nous sommes rentrés
directement dans ce qui est une boite de nuit Latine. On parle avec, il est
vrai, la très belle Shannon. On prend deux coupes de champagne chacun. Je vais
sur la piste en disant sourire aux lèvres que j’allais serrer ce soir… Le tout
ironiquement bien évidemment. Je mets en pratique les quelques pas de salsa
appris lors de soirée en TC, j’invite une première demoiselle d’une trentaine
d’année à danser, elle accepte. On danse quelques minutes. 5 minutes plus tard
elle disparait, c’est râpé pour elle. Je me retourne et je vois une autre
charmante demoiselle, la petite trentaine à vue d’œil, très jolie, robe à
fleur, typée. Je lui tends la main, elle me la prend et nous sommes partis à
danser, danser et encore danser, la musique est forte et le jeu de regards se
met en place. Au bout de quelques minutes on s’échange un premier baiser puis
un second puis un autre… On danse et on s’embrasse, je suis heureux, elle a
l’air de l’être, tout vas bien ! Elle m’entraine ensuite dehors, et elle
appelle un Taxi ! Zut, si elle veut aller plus loin je fais comment ?
Je ne vais pas l’amener dans l’auberge tout de même ! A ma surprise une
autre fille et un mec rentrent dans le même taxi. C’est sa cousine et son
compagnon d’un soir. Ma « conquête » donne alors une adresse, me voilà
sauver ! Oui mais… on va ou en fait ? 45min de taxi après on descend,
l’autre couple reste, elle paie, pas moi, elle m’offre le voyage ! Me voilà
chez elle, il est 4h du matin, on se couche à 7h (j’ai dû censurer quelque peu
un épisode il me semble ;) ). Nous nous réveillons ensuite à 9h, faute de
volets aux fenêtres. Elle m’apporte le petit déjeuné, au lit, je ne connais
toujours pas son prénom, ni ou je suis d’ailleurs.
On discute (enfin me direz-vous),
elle me donne son prénom (je ne pourrais pas vous le dire j’ai oublié), elle
est éducatrice pour enfants en difficultés, elle a voyagé un peu partout en
Australie et à habiter à de multiples endroits. Et au fil de la conversation je
découvre donc cette demoiselle qui me donnera finalement son âge… elle à 39ans…
Non mais genre vraiment 39ans quoi… Oh la vache ! Non mais zut qu’est-ce
que j’ai fait ! Waw ! Amazing, dingue ! (pardon Papa, pardon
maman mais cette histoire est tellement folle que je me devais de la
raconter ;) ). J’ai du m’enfiler ma tasse de café d’une traite en
entendant ca, mais finalement, comme on dit, rien ne vaut l’expérience… Bref, Il
est 11h, je reçois un message de Damien, on a rendez-vous à la plage l’après-midi
à 14h, je pars donc, sans prendre le numéro de la fille, on se quitte en se
souhaitant une bonne journée… Je prends le premier tram direction l’auberge.
J’y arrive 1h30 plus tard, le temps de prendre une douche d’acheter une glace
et me voilà reparti. On se rejoint donc sur la plage à quelques minutes du
centre de Melbourne, on se raconte notre soirée étant donné que l’on s’est
quitté entre temps. On en rigole. On fait bronzette, j’en profite pour
rattraper ma nuit de sommeil avant de partir manger dans un restaurant
végétarien au concept simple : pas de prix tu donnes ce que tu souhaites,
mon repas m’auras donc couté 5$25 (j’avais des petites pièces à dégager). On
marche ensuite le long d’un ponton pour aller voir des pingouins qui viennent à
cet endroit le soir avant d’admirer le couché de soleil. Il est déjà l’heure
pour nous de nous séparer après 3 jours plutôt riches en émotions !
Le lendemain matin, c’est l’heure
de quitter le Backpacker et donc Melbourne par la même occasion. Je prends donc
la direction de la gare en tram, enfin j’attends le tram, et je l’attends.
Jusqu’à ce que je vois un panneau indiquant qu’une raison de la parade du
Moomba festival… il n’y aura pas de tram ce matin. Je marche donc vers la gare
pendant 1h30 et j’en profite pour admirer la parade. Je prends ensuite le train
direction Bairnsdale, mais en raison de travaux sur les rails je devrais
descendre à Taralgon, 120km de Bairnsdale, ou des bus nous attendent. Je monte
dans un bus mais, au bout de 30 min de trajet tout le monde descend… nous
sommes à Sale, à 70km de Bairnsdale et c’est le terminus ! Je me suis donc
trompé de bus… Heureusement pour moi un autre bus arrive environ un quart
d’heure plus tard. J’arrive en temps et en heure à destination ou Krissy, une
canadienne de 25ans et Lucie, une française de 26ans originaire de Toulouse
m’attendent, en compagnie des enfants. Krissy est jeune fille au pair et vie
avec la famille alors que Lucie est helper, tout comme moi et vie donc à 15 min
de la maison dans une des villas des Resort. Elle m’explique donc que les
Helper vivent la bas nous allons partager une grande villa avec une autre
Helper, Australienne de 50ans passé. On prend donc d’abord la direction de la
maison ou je rencontre Rachel la mère de famille et Adrian le père (le soir
même Rachel passait à la télé, classe). Une grande maison avec plein de
divertissements pour les enfants. On mange donc avec eux le soir avant de
repartir vers le Resort, et Metung ou nous admirons un nouveau couché de
soleil, tout autant magnifique que le précédent, seul sur la plage avec grappes
de raisin en main, un moment de plaisir ! On fait connaissance puis nous
rentrons au Resort. Et là c’est dingue ! 20 superbes villas dans cet
emplacement que la famille loue surement à l’année, avec une piscine commune,
un jacuzzi, une salle de jeu avec palet, pingpong, babyfoot, jeux de société
ainsi qu’une aire de jeu pour les enfants. De l’autre côté de la route une
marina privée… c’est le rêve !
J’ai donc droit à une magnifique
chambre dans la villa dans laquelle on trouve tout le confort nécessaire :
douche, bain, machine à laver, cuisine, bref le rêve !
Lucie m’informe que la famille va
surement m’inviter durant mon séjour à passer une après-midi « croisière »
avec eux, sur le bateau ! Au top du top ! Pour info les parents on
une petite quarantaine avec 3 enfants de 5 à 10ans !
Le lendemain, début du boulot à 9h
du matin avec le nettoyage de la piscine avec explication d’Adrian, ensuite
direction la marina, de laquelle je serais en charge durant mon séjour ici. Mon
rôle : faire le plein d’essence des bateaux et les attacher au ponton…
Difficile d’avoir plus la classe que ça non ? Ensuite je nettoie les
lampes du Resort, enfin rien de bien compliqué en somme. Je
sens que je vais m’éclater durant ces 2 semaines qui s’apparenteront à une
vraie expérience professionnel. L’après midi c’est détente au bord et dans la
piscine ou je parle avec Bernard : un retraité de 67ans qui viens environ
10 fois par an ici, qui à réussi dans le marketing et qui à ne compagne aux
USA. On discute vite fait puis je vais faire un tour en « ville »,
c’est petit mais franchement sympa, dur de trouver un endroit plus calme, mais
bon après mes 3 jours… agités dirons-nous à Melbourne, ca ne fait pas de
mal ;) En revenant Lucie m’apprend qu’il lui à proposé de venir faire un
tour sur son bateau le lendemain et que je suis le bienvenue, je ne vais pas me
gener. Le soir une nouvelle arrivante :
Eléonore une Cannoise de 23ans (ayant vécu 2 ans à St Avé ! ) qui
est arrivé en Australie 2 semaines auparavant.
Le lendemain matin on bosse
tranquillement avant de nous rendre sur le bateau de Bernard, un magnifique
bateau avec sièges en cuir blanc pouvant accueillir jusqu’à 11 personnes et on
est parti sur le lac. (En fait il y a un énorme lac de plusieurs kilomètres de
long juste derrière la barrière de sable qui arrête la mer (barrière de
90miles)). Le bateau va super vite, on s’éclate, on parle et on rigole. On fait
un premier stop près de la plage et on va gouter la mer avant de revenir sur le
bateau. Bernard à ramener verres et bouteilles de vin blanc et nous offre donc
un verre au milieu de l’eau, au soleil sur une eau Turquoise… Qui dis
mieux ? C’est juste un bonheur, on s’arrete ensuite à Lakes Entrance ou
l’on vas se boire un café, une nouvelle fois offert par Bernard et on commence
à parler de mes aventures à Melbourne avec les filles et lui (J’ai oublié de précisé
qu’on étais moi, Eleonore et Lucie sur le bateau), je crois que mon surnom de
BabyBeard vas tourner à BabyCougar… 67ans mais pas farouche le Bernard, on se
sera bien marrer ! On repart cette fois direction la vigne d’un ami situé
en bord de rive, cette fois il nous offre un verre de vin, je prends le cidre à
la fraise, un délice ! Après 4heures passé sur le bateau on retourne au
Resort direction la piscine… Encore une journée AMAZING en Australie !
Amazing mate!!!
RépondreSupprimerFranchement bravo et merci de partager tes expériences et anecdotes!
T'assures!!!
Vivement les prochaines aventures!
A la revoyure ;-)
Manu